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Bien-être mental : la puissance des nootropiques tels que le Lion's Mane
Nous avons tous parfois une journée difficile. C'est tout à fait normal. Mais que se passe-t-il lorsque ces pensées et sentiments négatifs deviennent plus fréquents et influencent presque quotidiennement notre fonctionnement ? Dans ce blog, nous plongeons dans le monde des nootropiques tels que le Lion's Mane. Nous examinons des recherches scientifiques qui démontrent l'influence de ce champignon fascinant et d'autres ingrédients naturels sur notre bien-être mental et nos performances cognitives. De plus, nous partagerons des conseils de mode de vie pour soutenir davantage la santé mentale.
Sujets abordés dans cet article
1 personne sur 3 obtient un score faible en bien-être mental
De nombreuses études se penchent sur le bien-être mental, c'est-à-dire la mesure dans laquelle une personne se sent bien dans sa peau et heureuse. En 2023¹, une auto-évaluation a été réalisée auprès de 3 000 participants afin d'évaluer leur santé mentale.
Les résultats ont révélé qu'une personne sur trois obtient un score faible en bien-être mental. De plus, les femmes ont obtenu des scores significativement plus bas que les hommes. Les problèmes de santé mentale ont été particulièrement signalés chez les personnes âgées de 18 à 54 ans.
Cela montre qu'il s'agit d'un problème omniprésent, auquel heureusement de plus en plus d'attention est accordée.
Comment naissent les pensées et sentiments négatifs ?
Pour mieux gérer les pensées et sentiments dépressifs, il est essentiel de comprendre d’où ils viennent et comment ils se forment dans notre cerveau.
Pendant longtemps, les scientifiques pensaient que notre cerveau était immuable. On croyait que des aspects comme l’intelligence, la santé psychologique et les talents étaient fixés dès la naissance. Aujourd’hui, cette idée est dépassée. Des recherches ont démontré que notre cerveau est capable de s’adapter et de changer.
Nos milliards de cellules nerveuses sont interconnectées, et ces connexions sont influencées par nos pensées, nos émotions et nos actions. Lorsque certaines connexions neuronales sont activées de manière répétée, elles deviennent plus fortes et plus durables.
Ainsi, notre cerveau ne se contente pas de façonner ce que nous pensons, ressentons et faisons : il est lui-même influencé activement par ces éléments. Nous pouvons l’entraîner pour l’améliorer et ainsi modifier notre façon de penser et de ressentir les choses. Cette capacité d’adaptation du cerveau est appelée neuroplasticité.
Pensées positives
Vous pouvez commencer par transformer progressivement vos pensées négatives en pensées positives. Voici un exemple :
Pensée négative : "Je suis vraiment mauvais dans mon travail, les autres sont bien meilleurs que moi."
Reformulation positive : "Je suis en train d’apprendre et de progresser chaque jour. Chacun évolue à son propre rythme et a ses propres points forts."
Penser positivement augmente l’afflux sanguin vers le cerveau, améliorant ainsi le fonctionnement des neurones. Au début, cela demande un effort pour changer de perspective, mais avec le temps, ces nouvelles connexions positives deviendront plus fortes.
Méditation et pleine conscience
La méditation est un excellent moyen de réduire les pensées et émotions négatives. Il s’agit d’une véritable gymnastique mentale, composée d’exercices d’attention qui modifient la structure et le fonctionnement du cerveau.
Elle a un impact direct sur plusieurs aspects, notamment² ³ :
- L’amélioration de la concentration
- La réduction du stress
- Le bien-être psychologique et émotionnel
Trouvez votre passion
Les substances produites par le cerveau, appelées neurotransmetteurs, jouent un rôle clé dans notre bien-être. La dopamine et la sérotonine, souvent surnommées hormones du bonheur, ne se contentent pas de générer un sentiment de plaisir, elles stimulent aussi la création de nouvelles connexions neuronales.
Cherchez une activité qui vous passionne, quelque chose que vous aimez vraiment faire, sans pression ni obligation. Cela favorisera la libération de dopamine, un véritable moteur pour renforcer les connexions neuronales.
Bouger et faire du sport
L’activité physique est également essentielle pour le bien-être mental. Faire du sport améliore la circulation sanguine, apportant plus d’oxygène, de glucose et de nutriments à votre cerveau.
L’intensité importe peu : l’essentiel est de bouger régulièrement (idéalement 3 à 5 fois par semaine) pour maximiser ses bienfaits sur le mental et la cognition.
Biohacking pour les débutants
Il est également intéressant de mentionner le concept de biohacking comme moyen d’améliorer votre bien-être mental. Le biohacking désigne littéralement l’optimisation de votre corps en combinant biologie et technologie. L’objectif final est d'améliorer vos performances physiques et cognitives pour maximiser votre potentiel.
Cela peut sembler un peu futuriste, mais il est fort probable que vous pratiquiez déjà certains aspects du biohacking sans le savoir. Il existe de nombreux exemples que nous connaissons tous. Par exemple : le jeûne intermittent pour réduire l’inflammation et perdre du poids. La méditation pour réduire le stress. Les compléments alimentaires en sont un autre exemple important. En prenant les bons suppléments, vous pouvez améliorer de manière proactive votre santé et votre bien-être.
Le biohacking va au-delà des conseils de vie traditionnels, portant sur l’alimentation, l’exercice, le stress et le sommeil. Il s’intéresse également à l’utilisation de suppléments, de la lumière, du froid, de la respiration, etc. De plus, ces biohacks sont très personnalisés et individuels. Il ne s'agit pas de conseils généraux, mais de découvrir ce qui fonctionne le mieux pour vous.
Le concept de biohacking existe depuis longtemps, mais il gagne actuellement en popularité, notamment grâce à l'influence de la Silicon Valley en Amérique. Cette région est le berceau de la technologie innovante, abritant des géants comme Google, Meta et Netflix. Pour mieux gérer les délais stricts et les objectifs ambitieux, les employés de Silicon Valley ont commencé à rechercher des biohacks naturels afin d’améliorer leurs performances et leur bien-être.
Le véritable « père du biohacking » est Dave Asprey, auteur du livre Smarter, Not Harder: The Biohacker’s Guide to Getting the Body and Mind You Want (Asprey, 2023)⁴. Dans ce livre, il discute de divers biohacks et encourage ses lecteurs à expérimenter ces techniques pour découvrir ce qui fonctionne le mieux pour leurs besoins et objectifs personnels, tant en termes de bien-être mental que de performances cognitives.
Quelques biohacks mentionnés par Asprey sont :
- La thermogenèse par le froid pour activer la graisse brune et améliorer le métabolisme.
- La thérapie par la lumière rouge pour favoriser la réparation cellulaire et réduire les inflammations.
- Les herbes adaptogènes, comme la rhodiola, qui aident à équilibrer le corps (également présentes dans le produit Balance² Me de la marque Insentials).
- Les nootropiques naturels, comme le Lion's Mane (ou crinière de lion), qui sont utilisés pour stimuler les fonctions cérébrales.
D'ailleurs, les nootropiques méritent une attention particulière. Tout comme le biohacking, le terme « nootropiques » a gagné en popularité ces dernières années. Ces substances naturelles sont de plus en plus recherchées pour leur capacité à améliorer la cognition, la concentration et la mémoire.
Nootropiques : influencer la neuroplasticité de manière sûre
Les nootropiques sont des substances, naturelles ou synthétiques, qui améliorent les fonctions cognitives telles que la mémoire, la concentration, la créativité et l’humeur. Ils influencent la neuroplasticité, car ils stimulent la formation de nouvelles connexions synaptiques entre les neurones.
Dans cet article, nous nous concentrerons uniquement sur les nootropiques naturels, notamment le Lion’s Mane, également connu sous le nom de pruikzwam (champignon crinière de lion) ou Hericium Erinaceus. D'autres exemples bien connus de nootropiques sont la caféine et le ginseng, qui ciblent principalement le cerveau. Le terme "nootropique" vient du grec, signifiant "modeler ou façonner l'esprit".
Le Lion’s Mane est l’un des champignons les plus célèbres et utilisés comme nootropique naturel. Il est facilement reconnaissable grâce à ses longues épines ressemblant à des poils, qui rappellent la crinière d’un lion. C’est ainsi qu'il a obtenu son nom. En néerlandais, ce champignon est également appelé pruikzwam. Ce champignon est comestible et pousse principalement sur le bois dur ou mourant en Amérique du Nord, Europe et Asie.
L'Influence du Lion's Mane
Les nootropiques tels que le Lion’s Mane sont souvent comparés aux psychedéliques. Ces derniers contiennent des substances qui peuvent provoquer des hallucinations. Cependant, le Lion’s Mane ne contient pas de telles substances. Il ne provoque donc aucune hallucination. Ses effets sont plus subtils et n'influencent pas la conscience. Cela rend les nootropiques sûrs à utiliser et disponibles en vente libre sous forme de compléments alimentaires.
Les possibilités thérapeutiques du Lion’s Mane sont en cours de recherche. Les études font référence à sa combinaison unique de substances bioactives, telles que les hericenones et les erinacines. Ces petites molécules traversent facilement la barrière hémato-encéphalique. Une fois dans le cerveau, elles ont la capacité unique de stimuler la production de neurotrophines comme le NGF (Nerve Growth Factor ou facteur de croissance nerveuse) (Lai et al., 2013 ; Chong et al., 2019) et le BDNF (Brain-Derived Neurotrophic Factor ou facteur neurotrophique dérivé du cerveau) (Vigna et al., 2019 ; Nagano et al., 2010).
Ces protéines stimulent la croissance de nouveaux neurones et synapses. Elles régulent également la force et l'efficacité des connexions entre les neurones. Enfin, elles protègent les neurones existants contre les dommages et l'apoptose (mort cellulaire programmée). En résumé, les neurotrophines stimulent la santé de nos neurones, et par conséquent, notre bien-être mental.
Un manque de neurotrophines telles que le BDNF et le NGF est associé à des sentiments de dépression et d'anxiété. Tout comme l'exercice physique, une alimentation saine et la méditation, l'utilisation de nootropiques tels que le Lion’s Mane peut stimuler la production de neurotrophines et contribuer ainsi à améliorer la santé mentale (Tseng et al., 2015 ; Cubillos et al., 2022 ; Porter & O'Connor, 2022).
NRM3+: soutien de votre bien-être mental
Chez Insentials, un mode de vie sain est toujours au cœur de nos préoccupations, avec un accent particulier sur la prévention des divers maux liés au mode de vie. Une alimentation saine et l'exercice physique en sont les bases, mais pour soutenir une bonne santé mentale, des compléments contenant des nootropiques peuvent également être utilisés. C'est pourquoi Insentials a développé de manière précise la formule de NRM3+, un supplément conçu pour soutenir votre bien-être mental.
NRM3+ contient le nootropique Lion’s Mane (ou pruikzwam), que nous avons détaillé ci-dessus. En plus de cela, deux autres ingrédients ont été ajoutés à la formule :
- Le safran
- La mangiférine
Safran
En ce qui concerne la santé mentale, le safran est un acteur bien connu. De nombreuses études ont déjà été réalisées pour confirmer l'efficacité du safran et de la safranal, son ingrédient actif¹²¹³. Plus précisément, le safran régule la réponse au stress et modifie également les systèmes de neurotransmetteurs. Le fonctionnement et la présence ou l'absence de ces neurotransmetteurs jouent un rôle crucial dans le développement des pensées et émotions négatives. Le safran est souvent utilisé par des personnes à la recherche d'alternatives naturelles aux antidépresseurs conventionnels ou comme thérapie complémentaire aux traitements traditionnels pour augmenter leur efficacité¹⁴.
Mangiférine
La mangiférine est un extrait des feuilles du manguier. Une étude récente (Jeyakodi, S. et al, 2024)¹⁵ a révélé qu'elle contribue de manière significative à l'amélioration de la rapidité mentale, de l'attention, de la mémoire de travail, de l'inhibition des réponses, ainsi que de l'apprentissage et de la mémoire verbale. De plus, la mangiférine a montré des effets bénéfiques dans la gestion du stress psychologique, en particulier en ce qui concerne la gestion de la nervosité, de l'irritabilité et des variations d'humeur.
La pertinence de ce complément pour les femmes
La vie quotidienne ressemble souvent à un exercice d'équilibre constant entre le travail, la famille, les obligations sociales et le temps pour soi. La charge mentale peut ainsi devenir plus importante.
NRM3+ a été développé pour ces moments où votre esprit est saturé et votre énergie est épuisée. Il offre le soutien dont vous avez besoin pour mieux gérer la pression mentale, sans avoir à recourir à des stimulants puissants ou à des médicaments. Il ne résout pas tous vos problèmes, mais il apporte à votre cerveau un soutien supplémentaire pour vous permettre de traverser votre journée avec plus de clarté et de calme mental.
Insentials NRM3+
Nouveau
Sources
¹ Fiers S., Braekman, E. (2023). Preventiebarometer : Santé mentale. sciensano.be.
² Van de Velde, J., Levecque, K., Weijters, B., & Laureys, S. (2023). Faire ce qui compte en période de stress : Méditation sans fioritures et bien-être professionnel durant la COVID-19. PLoS ONE, 18(11), e0292406.
³ Keng S-L, Smoski MJ, Robins CJ. Effets de la pleine conscience sur la santé psychologique : Une revue des études empiriques. Clin Psychol Rev. 2011; 31 : 1041–1056.
⁴ Asprey, D. (2023). Smarter not harder: The Biohacker’s Guide to Getting the Body and Mind You Want. Harper Wave.
⁵ Lai, P. L., Naidu, M., Sabaratnam, V., Wong, K. H., David, R. P., Kuppusamy, U. R., Abdullah, N., & Malek, S. N. (2013). Propriétés neurotrophiques du champignon médicinal Lion’s Mane, Hericium erinaceus (Higher Basidiomycetes) de Malaisie. International Journal of Medicinal Mushrooms, 15(6), 539–554.
⁶ Chong, P. S., Fung, M., Wong, K. H., & Lim, L. W. (2019). Potentiel thérapeutique de Hericium erinaceus pour les troubles dépressifs. International Journal Of Molecular Sciences, 21(1), 163.
⁷ Vigna, L., Morelli, F., Agnelli, G. M., Napolitano, F., Ratto, D., Occhinegro, A., Di Iorio, C., Savino, E., Girometta, C., Brandalise, F., & Rossi, P. (2019). Hericium erinaceus améliore l'humeur et les troubles du sommeil chez les patients en surpoids ou obèses : Les biomarqueurs potentiels Pro-BDNF et BDNF. Evidence-Based Complementary and Alternative Medicine, 2019, 1–12.
⁸ Nagano, M., Shimizu, K., Kondo, R., Hayashi, C., Sato, D., Kitagawa, K., & Ohnuki, K. (2010). Réduction de la dépression et de l'anxiété par une prise de Hericium erinaceus pendant 4 semaines. Biomedical Research, 31(4), 231–237.
⁹ Tseng, P., Lin, P., Tu, K., Cheng, Y., Wu, C., & Chen, Y. (2015). Des niveaux significativement plus bas de facteur de croissance nerveuse chez les patients souffrant de troubles dépressifs majeurs comparés aux sujets sains : Une méta-analyse et revue systématique. Neuropsychiatric Disease And Treatment, 925.
¹⁰ Cubillos, S., Engmann, O., & Brancato, A. (2022). BDNF comme médiateur de la réponse aux antidépresseurs : Progrès récents et interactions avec le mode de vie. International Journal Of Molecular Sciences, 23(22), 14445.
¹¹ Porter, G. A., & O’Connor, J. C. (2022). Le facteur neurotrophique dérivé du cerveau (BDNF) et l'inflammation dans la dépression : Des partenaires pathogènes ? World Journal of Psychiatry, 12(1), 77–97.
¹² Jackson, P. A., Forster, J., Khan, J., Pouchieu, C., Dubreuil, S., Gaudout, D., Moras, B., Pourtau, L., Joffre, F., Vaysse, C., Bertrand, K., Abrous, H., Vauzour, D., Brossaud, J., Corcuff, J. B., Capuron, L., & Kennedy, D.O. (2021). Effets de la supplémentation en extrait de safran sur l'humeur, le bien-être et la réponse à un stresseur psychosocial chez les adultes en bonne santé : Essai clinique randomisé, en double aveugle, à groupe parallèle. Frontiers in Nutrition, 7.
¹³ Shafiee, M., Arekhi, S., Omranzadeh, A., & Sahebkar, A. (2017). Le safran dans le traitement de la dépression, de l'anxiété et d'autres troubles mentaux : Preuves actuelles et mécanismes d'action potentiels. Journal of Affective Disorders, 227, 330–337.
¹⁴ Chauhan, S., Tiwari, A., Verma, A., Padhan, P. K., Verma, S., & Gupta, P. C. (2024). Exploration du potentiel du safran comme agent thérapeutique dans le traitement de la dépression : Une revue comparative. The Yale Journal of Biology and Medicine, 97(3), 365–381.
¹⁵ Jeyakodi, S., Krishnakumar, A., Dalal, M., & Shetty, B. S. (2024). Évaluation de l'efficacité et de la sécurité de l'extrait de Mangifera indica (Stadice®) pour la fonction cognitive : Une étude randomisée, en double aveugle, contrôlée par placebo. Cureus.